En déplacement mardi 21 décembre à Avignon (Vaucluse), Nicolas Sarkozy a défendu la politique hospitalière du Gouvernement.
En mettant l'accent sur la nécessité de « tenir les équilibres financiers », le président de la République a tenu le langage de la vérité en soulignant qu’il n’était pas « sain » pour notre pays d’avoir « deux tiers des hôpitaux en déficit ».
C’est là une règle d’or garante de l’indépendance du pays. Elle permet également depoursuivre l’investissement dans le domaine hospitalier (+2,9% en 2011).
« Je ne laisserai pas la France devenir comme d'autres pays qui tendent la main aux marchés. Oui, c'est vrai, il faudrait mieux payer les personnels, il faudrait plus d'emplois dans les hôpitaux mais, en même temps, si on ne tient pas les équilibres locaux, on n'est plus un pays indépendant », a expliqué Nicolas Sarkozy devant des personnels hospitaliers.
Ce discours de vérité déjà tenu sur les retraites par exemple, est à la fois courageux et lucide. L’UMP ne doute pas que les Français attendent de leurs leaders politiques l’abandon de toute démagogie au profit d’un langage réaliste et responsable au service de l’intérêt collectif.
En mettant l'accent sur la nécessité de « tenir les équilibres financiers », le président de la République a tenu le langage de la vérité en soulignant qu’il n’était pas « sain » pour notre pays d’avoir « deux tiers des hôpitaux en déficit ».
C’est là une règle d’or garante de l’indépendance du pays. Elle permet également depoursuivre l’investissement dans le domaine hospitalier (+2,9% en 2011).
« Je ne laisserai pas la France devenir comme d'autres pays qui tendent la main aux marchés. Oui, c'est vrai, il faudrait mieux payer les personnels, il faudrait plus d'emplois dans les hôpitaux mais, en même temps, si on ne tient pas les équilibres locaux, on n'est plus un pays indépendant », a expliqué Nicolas Sarkozy devant des personnels hospitaliers.
Ce discours de vérité déjà tenu sur les retraites par exemple, est à la fois courageux et lucide. L’UMP ne doute pas que les Français attendent de leurs leaders politiques l’abandon de toute démagogie au profit d’un langage réaliste et responsable au service de l’intérêt collectif.