samedi 15 octobre 2011

Bruno Beschizza à la rencontre des adhérents de la circonscription !





Bonjour à tous,

Le 4 octobre 2011, Bruno Beschizza, Secrétaire national de l'UMP en charge des questions de sécurité & conseiller régional d'Île-de-France, est venu à la rencontre des adhérents de la circonscription pour évoquer avec eux la délinquance et les violences du quotidien. Lucide sur la situation actuelle, il a échangé avec les quelques 60 personnes présentes à l'événement sur les pistes d'amélioration et les propositions qui seront à faire dans le cadre du projet présidentiel ! 

Bernard Rodier, maire de Saint-Pierre lès Nemours et hôte de l'événement a pu donner le ressenti d'un maire d'une petite ville. Frédéric Valletoux, maire de Fontainebleau & conseiller régional, a présenté aux militants les actions que le groupe UMP à la région Île-de-France tente de faire accepter à la majorité socialiste de Jean-Paul Huchon... 

Prochainement, le comité de circonscription continuera de vous proposer des événements variés sur des thématiques intéressants notre territoire. Pour toute demande ou suggestion, n'hésitez pas : ump77circo2@gmail.com 


vendredi 30 septembre 2011

Un succès pour le barbecue de rentrée de la circo !

Bonjour à tous,

Le 18 septembre, la deuxième circonscription se réunissait pour son événement traditionnel de rentrée. Près de 200 personnes, adhérents ou sympathisants ont répondu présent à l'invitation à l'Abbaye de Cercanceaux ! 

Autour de Christian Jacob, président du groupe UMP à l'Assemblée Nationale et président de la fédération UMP 77, nous avons pu échanger sur les sujets d'actualité et la préparation de l'élection présidentielle. Maîtrise des finances publiques, relance économique, emploi, Europe seront des thèmes forts de la prochaine échéance présidentielle sur lesquels, le comité de circonscription souhaitons pouvoir débattre afin que chacun ait les cartes en main pour convaincre amis, voisins, connaissances de voter pour Nicolas Sarkozy en 2012.


Je tiens également à saluer la présence de nos parlementaires, Constance le Grip, Didier Julia, Jean-Jacques Hyest (ainsi que ses co-listiers pour l'élection sénatoriale de dimanche prochain), de notre conseiller régional et maire de Fontainebleau Frédéric Valletoux, de nos conseillers généraux Jean-François Robinet et Pierre Bacqué, des nombreux maires de la circonscription ainsi que de l'ensemble des élus locaux. Je remercie l'ensemble de l'équipe organisatrice et les bénévoles ayant aidé à l'organisation sur place : les équipes de Valérie Lacroute, maire de Nemours, ainsi que les membres du comité de circonscription qui ont donné un coup de main.
Cédric Thoma
Délégué UMP 77 - 2ème circonscription 



La deuxième circonscription présente en nombre aux universités de Marseille !




Bonjour à tous,

Annuellement, l'UMP organise ses universités d'été le 1er weekend de septembre pour marquer la rentrée politique. Cette année, les UE se déroulaient à Marseille, au Parc Chanot, et comme toujours notre circonscription fut aux rendez-vous pour les débats du weekend sous le beau temps marseillais !

Un grand merci à nos militants, Nacim, Marc Antoine, Julien C., Loic, Kevin C., Bruno L., Julien G. ainsi qu'à nos élus, Frédéric Valleotux, maire de Fontainebleau & conseiller régional IDF, Valérie Lacroute, maire de Nemours, Béatrice Rucheton, élue avonnaise et conseillère nationale de l'UMP, Geneviève Arnaud, élue avonnaise, Cédric Thoma, élu bellifontain et délégué de la deuxième circonscription !

Débats, propositions pour 2012 et festivités ont égayé le weekend !

Un grand merci à tous !

jeudi 12 mai 2011

Le président de la République à Fontainebleau pour évoquer les soins hospitaliers de proximité



Bonjour à tous,

Jeudi 5 mai, le président de la République Nicolas Sarkozy était en déplacement à Fontainebleau pour évoquer les soins hospitaliers de proximité.

Au cours d'une table ronde animée par Frédéric Valletoux, maire de Fontainebleau et président de la Fédération Hospitalière d'Île-de-France, le président de la République a expliqué la politique menée par l'Etat en matière d'optimisation des dépenses de santé sur le territoire.

Il a confirmé tout l'intérêt qu'il portait au projet de rapprochement de l'offre hospitalière entre la Polyclinique de la Forêt et l'hôpital de Fontainebleau sur le site du Bréau. Ce projet s'inscrit dans la logique de mutualisation des équipements de santé pour le bien être du patient, au coeur de la politique du gouvernement de François Fillon.

Près de 1200 personnes ont assisté à cet exposé ainsi que de nombreux élus locaux, conseillers municipaux, maires, conseillers généraux et parlementaires.

Envoyez-nous vos photos et retrouvez la vidéo de la l'intervention en cliquant ici !

dimanche 1 mai 2011

Dîner-débat de la deuxième circonscription UMP sur la réforme de la Politique Agricole Commune 2013 !



Bonjour à tous,

Vendredi 29 avril, la deuxième circonscription de l'UMP organisait un dîner-débat sur le thème de la réforme de la Politique Agricole Commune à Gironville avec la participation de la Chambre d'Agriculture de Seine-et-Marne.

Plus de 60 professionnels du secteur et adhérents de notre circonscription ont pu échanger autour de Constance le Grip, eurodéputée d'Île-de-France, ainsi que des élus de notre circonscription, le sénateur Jean-Jacques Hyest, le maire de Fontainebleau - conseiller régional Frédéric Valletoux, le conseiller Pierre Bacqué ainsi que de nombreux maires et élus locaux.

Pendant près de deux heures, nous avons pu échanger sur les inquiétudes et les attentes des agriculteurs sur la réforme de la PAC 2013 : statut des saisonniers, normes environnementales et phytosanitaires, régulation des marchés de matières premières, circuits courts, diversification des exploitations, bureaucratie demandée, taille critique des abattoirs (le sud 77 ne possède plus d'abattoir depuis l'an dernier ; le plus proche est Marne-la-Vallée ou Pithiviers. La raison est simple : les contraintes d'hygiène [présence d'un vétérinaire etc] empêchent certaines exploitations de prétendre à ce statut).



Le débat était complété par une visite de terrain préalable au débat au cours de laquelle Frédéric Valletoux et Constance le Grip ont pu visiter un élevage de volailles, un céréalier producteur de fruits rouges, un élevage d'ovins et de production de bière. Les discussions se déroulant au niveau européen, Constance le Grip pourra appuyer et relayer les remarques de nos professionnels et ainsi contribué à l'obtention d'une PAC qui permette aux agriculteurs de vivre décemment des revenus de leur travail.

Cédric THOMA
Délégué UMP 77 - 2ème circonscription

vendredi 15 avril 2011

Le Parti Socialiste jette les jeunes à la poubelle avec son programme !



Transformer un vieil échec en solution révolutionnaire ne fait pas un projet crédible
Personne ne nie la problématique de l’emploi des jeunes en France. C’est un problème structurel dont notre pays n’arrive pas à se défaire durablement : depuis 1981, date à laquelle il a symboliquement franchi le seuil des 20%, le taux de chômage des jeunes actifs a toujours été compris entre 18% et 25%. 3 chiffres résument les difficultés d’insertion des jeunes sur le marché du travail :

►  Difficulté à trouver un emploi : 1/5ème des jeunes actifs âgés de 15 à 24 ans sont au chômage


►  Difficulté à trouver un emploi stable : ¼ des jeunes de moins de 30 ans est en CDD contre 1/6 pour l’ensemble de la population active


►  Spécificité française de ces difficultés : le taux d’emploi des moins de 25 ans était de 30,2 % en 2010 en France, contre 42 % en Suède, 46,4 % en Allemagne et de 48 % au Royaume-Uni.

Mais ce n’est pas parce que ce problème dure depuis  30 ans qu’il faut lui appliquer des solutions d’un autre siècle ! Et pourtant, pour le PS, la solution miracle pour l’emploi des jeunes : c’est retour aux emplois jeunes de 1997 et généralisation de l’assistanat !

1) Les emplois d’avenir du PS, c’est retour vers le passé !

Contre le chômage des jeunes, Martine Aubry a trouvé l’innovation dernier cri : elle propose de créer « 300 000 emplois jeunes d’avenir » pour une durée de 5 ans, rémunérés au SMIC, financés à 75 % par l’Etat et créés dans le secteur non marchand ! C’est exactement ce qu’elle avait mis en place sous Jospin, à deux différences près : en 1997, Martine Aubry parlait d’emplois jeunes, en 2011 elle parle d’emplois-jeunes « d’avenir »… autre nuance considérable, c’était 350 000 emplois en 1997, en 2011 c’est 50 000 de moins ! Malheureusement pour le PS, il ne suffit pas de rajouter le mot « avenir » à « emplois-jeunes » pour transformer un vieil échec en solution révolutionnaire ! Ces emplois jeunes recyclés ne sont pas malheureusement pas une solution d’avenir pour 3 raisons :


►  Les emplois-jeunes épisode 1 ont un mauvais bilan !
  • Ils n’ont pas boosté l’emploi sur le long terme : Martine Aubry prétend que « l’avantage de ces emplois est qu’ils ont marché» car « 80% des ces jeunes ont aujourd’hui un emploi »… Ce que Martine Aubry ne dit pas, c’est que les jeunes de 1997 ne sont plus des jeunes : près de 15 ans après le lancement du dispositif, ils ont désormais entre 30 et 40 ans, âge où le taux d’emploi est le plus élevé en France (plus de 82% pour les 25-49 ans en 2009) ! Il n’y a donc pas de quoi se vanter de ce chiffre de 80%, que Martine Aubry présente comme exceptionnel alors qu’il est tout juste  inférieur à la moyenne nationale !
  • La période suivant directement l’après emplois-jeunes a souvent été une galère. Un sondage de la CFDT –peu susceptible d’être classée à droite !- datant de 2002 montrait que 50% des emplois-jeunes en fin de contrat ne savaient pas de quoi leur avenir serait fait ! En off, les conseillers de Lionel Jospin admettaient que 15% des emplois jeunes ne répondaient à aucun besoin réel. On pense notamment aux 75 000 jeunes qui ont occupé un emploi-jeune « agent d’ambiance », « conseiller et animateur environnement » ou « médiateur familial »… emplois-jeunes artificiels, issus d’un imaginaire « bobo » déconnecté de toute réalité, qui n’ont évidement pas débouché sur un emploi stable, mais ont trompé ces jeunes en les berçant d’illusions pendant les 5 ans qu’a duré leur contrat, avant de les laisser sur le carreau !
En 2005, trois-quart des jeunes ayant occupé un emploi-jeune déclaraient toucher moins de 1500 € par mois et 40% moins de 1200€ (contre un salaire net moyen supérieur à 1900 €)… où le PS a-t-il vu un tremplin dans ces emplois ?
  • Ils ont coûté excessivement cher aux finances publiques pour un effet limité : quand le dispositif tournait à plein régime, en 2002, il coûtait 37 milliards de francs (5,6 milliards d’euros) par an à l’Etat, soit plus 15 000 euros par emploi subventionné! Notre endettement -25 000 euros pas Français- qui a été creusé par de telles mesures désastreuses, ne nous permet pas de jouer aux apprentis sorciers en jetant des milliards d’euros par la fenêtre ! 
     ■   Le PS veut nous faire croire que le simple fait de rebaptiser une mesure qui a échoué suffit à garantir sa réussite… La ficelle est décidément un peu grosse.
►  Le chiffrage du PS sur les emplois jeunes s’est manifestement fait au doigt mouillé. Exemple de cet amateurisme : à quoi correspond ce chiffre de 300 000 emplois ? Pourquoi pas 350 000 comme en 1997, 150 000 comme Martine Aubry l’annonçait en 2009, ou 500 000 comme le prévoyait Ségolène Royal en 2007 ? Au PS, quand on propose une mesure, on n’est pas à 200 000 emplois près ! C’est la preuve du manque de sérieux des promesses du PS. Et en choisissant ce chiffre de 300 000, inférieur de 50 000 à celui de 1997, et de 200 000 à celui de 2007, le PS montre qu’il ne croit pas lui-même en ce dispositif et veut en réduire la voilure par rapport aux années Jospin.

Pour financer les 4 milliards que coûteraient par an la mesure, Martine Aubry propose :
  • de revenir sur la réforme de l’ISF : voilà un beau mensonge de Martine Aubry, car il n’y a pas 4 milliards € à récupérer sur la réforme de l’ISF qui s’est faite à coût constant (elle sera intégralement compensée par une taxation des revenus du patrimoine). En clair, cette proposition revient donc à augmenter les impôts de 4 milliards.
  • Ou de supprimer l’exonération des heures supplémentaires qui profitent pourtant essentiellement aux salariés les plus modestes (un ouvrier au salaire moyen qui a 2 heures supplémentaires par semaine gagne 150 euros par mois !). Nous attendons avec impatience que Martine Aubry explique aux ouvriers qu’elle va rogner sur leur pouvoir d’achat pour financer des emplois-jeunes voués à l’échec ! 
►  Philosophiquement, enfin, les emplois jeunes ce n’est jamais que le retour au bon vieil étatisme socialiste : plutôt que de donner les moyens à un jeune d’accéder à l’emploi, en privilégiant des formations professionalisantes, ou de créer les conditions nécessaires à l’embauche, en agissant sur le coût du travail qui handicape notre compétitivité, le PS préfère tabler sur la planche à billet pour financer de l’emploi public !  C’est aussi la preuve que le PS a une vision passéiste de la jeunesse : la jeunesse ne mérite pas qu’on l’infantilise mais qu’on la traite en adulte, il est illusoire de lui laisser croire qu’elle doit tout attendre de l’Etat.

2) Quelle est l’autre solution miracle du PS ? La généralisation de l’assistanat !

Le PS propose 2 nouvelles allocations pour les jeunes, en se gardant d’annoncer comment il les financerait et quel serait leur coût :
►  L’extension du RSA à tous les jeunes en fin de droits à l’assurance chômagealors que le RSA est actuellement accessible aux moins de 25 ans qui ont travaillé deux ans dans les trois dernières années.
►  La mise en place d’une allocation d’études pour lutter « contre la sélection sociale intense qui s’effectue particulièrement dans les études supérieures. » 
          Les jeunes n’ont pas besoin d’une énième allocation incitant à l’assistanat ou au nivellement par le bas au prétexte de lutter contre « la sélection » qui s’opère lors des études supérieures. Ils ont besoin d’un emploi pérenne basé sur de véritables besoins économiques et des compétences reconnues. Contrairement à la gauche, qui veut faire rimer autonomie avec allocation, nous pensons que l’autonomie ne se reçoit pas sous perfusion publique, elle se gagne par le travail.Le PS trompe la jeunesse en lui promettant l’assistanat au travers d’emplois publics précaires subventionnés et d’allocations non conditionnées. C’est le meilleur moyen d’ancrer la jeunesse dans une trappe à pauvreté dévalorisante.
     ■   Une nouvelle fois, rien de neuf sous le soleil : assistanat et nivellement par le bas seront au menu du projet socialiste pour 2012.


3) Le PS dénonce à grands cris la politique de la majorité pour la jeunesse, mais n’hésite pourtant pas à recommander un copier/coller intégral de ce qu’a fait la droite depuis 2007 en faveur des jeunes !
Le PS manque tellement d’idées qu’en plus du recyclage de ses propositions d’il y a 14 ans, il propose un copier/coller de ce qu’a mis en place la majorité depuis 2007,  tout en se gardant bien d’avoir l’honnêteté de verser des droits d’auteurs à l’UMP ! Le PS veut : 
►  « Développer des formes d’alternance éducative sous statut scolaire, en apprentissage, en contrat de professionnalisation »
  • Le plan emploi de la majorité qui fera l’objet très de dispositions législatives en 2011 vise à développer l’alternance, avec l’objectif de 800 000 jeunes en alternance en 2015, dont 600 000 apprentis.
►  « Mettre en place un grand service public de proximité de l’information et de l’orientation tout au long de la vie.
  • La loi du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et à la formation professionnelle contient déjà des dispositions en faveur de la création d’un service public de l’orientation et de 1er conseil pour l’été 2011.
► « Généraliser la pratique du CV anonyme pour franchir l’obstacle des discriminations. »
  • Sous l'impulsion de Nicolas Sarkozy, le CV anonyme fait déjà l’objet d'une expérimentation nationale, dont le pilotage est assuré par Pôle emploi. Une cinquantaine d'entreprises, toutes volontaires, participent à cette opération.
 « Affilier les 150 000 jeunes décrocheurs à un « Pôle public de l’insertion professionnelle » pour donner un projet professionnel à chaque décrocheur avec une formation qualifiante et versement d’une allocation contractuelle.
  • La majorité a mis en place les écoles de la 2ème chance (E2C). Ces écoles visent des jeunes 16 / 25 ans sans qualification professionnelle ou sans diplôme. A partir d’un parcours de formation individualisé reposant sur l’acquisition d’un savoir de base et une période en alternance, les écoles de la 2ème chance affichent un taux de sortie positive, puisque 59 % des élèves sont en emploi ou en formation qualifiante. Dans le même esprit, depuis 2009, 1 268 000 de jeunes de 18-25 ans ont été en contact avec le réseau des missions locales qui les ont reçus et dont 435 000 ont pu conclure des contrats de travail classiques et 241 000 suivre formations professionalisantes.
► « Mettre en place du tutorat »,
  • Dans le cadre du plan emploi de la majorité mis en place pour 2011, les conditions requises pour être tuteur seront assouplies.
      ■    Et toutes ces mesures lancées par la majorité donnent déjà des résultats : le chômage des jeunes a baissé de 1,1% au mois de février et de 6,4% depuis un an.

Le plan pour les emplois jeunes du PS hésite donc entre :


►  « retour vers le passé » -en recyclant les promesses de l’ère Jospin et les vieilles illusions socialistes, assistanat, dirigisme d’Etat, augmentation des dépenses publiques et des impôts…- 


►  « voyage en terre inconnue » -multiplication de nouvelles allocations et de cadeaux dont on ne sait pas du tout comment ils pourraient être financés- 


►  et « l’école des cancres » – en plagiant sans vergogne le plan emploi des jeunes de la majorité sans citer ses sources.
Dans tous les cas, ces propositions sont le signe d’une absence de crédibilité indigne d’un parti qui s’estime en position de gouverner la France en 2012. Elles sont le signe d’un parti dirigé par les caciques de l’ère Jospin qui n’ont toujours pas compris pourquoi ils avaient perdu en 2002 malgré un bilan qu’ils estiment exceptionnel… et qui pensent donc qu’ils peuvent gagner en 2012 avec les promesses de 1997… Les Français apprécieront. 

lundi 21 mars 2011

Bernard Rodier pour le canton de Nemours !

Bonjour à tous,

L'élection du dimanche 20 mars 2011 a placé Bernard Rodier en tête des élections cantonales du canton de Nemours.

Il est vital pour pouvoir espérer regagner la majorité au Conseil Général de se mobiliser massivement pour conserver le canton de Nemours à droite.

Votre mobilisation est essentielle ; dimanche prochain, votez bien, votez Rodier !


Canton de Nemours


Candidat
Etiquette
Nombre de voix
% des inscrits
% des exprimés
Résultat
RODIER Bernard
USM-UMP
3008
14,98
37,72
Ballottage
CURIE Jean-Pierre
POI
170
0,85
2,13
JAMET Claude
DVG
2785
13,87
34,92
Ballottage
CHOQUET Jean-Luc
FN
1475
7,35
18,50
MARONI Marie-José
FG
537
2,68
6,73

dimanche 13 mars 2011

Les 20 et 27 mars 2011 votez Bernard Rodier !



Bonjour à tous,

L'ensemble du comité de circonscription et des adhérents UMP de la deuxième circonscription appellent à la mobilisation les 20 et 27 mars prochain pour les élections cantonales.

Parmi les 5 cantons de notre circonscription, seul le canton de Nemours est renouvelable. Le canton investi par la majorité présidentielle est Bernard Rodier, conseiller général sortant et maire de Saint Pierre lès Nemours. Sa suppléante est Maryline Matthaei, adjointe au maire de Nonville.

Cette élection au conseil général, la dernière avant la mise en place des conseillers territoriaux en 2014, est capitale pour notre famille politique. Après les errances de la politique départementale socialiste (plus de personnel, moins d'investissements, moins de services à la population, des évènements électoralistes comme le Festival Dépayzarts dont le coût avoisine au total 2 800 000€ !...) il est temps de redonner une vraie action au conseil général ; ce dynamisme, seul la droite est capable de le porter.

Votre mobilisation pour le 1er et le 2nd tour de l'élection est indispensable. Votez et appelez à faire voter Bernard Rodier sur le canton de Nemours !

samedi 5 mars 2011

Le Collectif Jeudi Noir était une manipulation politique de la gauche...



Bonjour à tous,

La supercherie des faux squatteurs du collectif Jeudi Noir est enfin dévoilée. L'UMP et les Jeunes Populaires s'indignent face aux méthodes honteuses de manipulation médiatique : 

Les Jeunes Populaires se joignent à l’indignation générale suites aux révélations sur les membres de ce pseudo collectif. Ces découvertes ressemblent étrangement à celles concernant un autre collectif, expert en manipulation d’opinions et en coup d’éclat médiatique, et à la face cachée peu louable, l’association MACAQ.

Rappelons que cette dernière, qui bénéficiait de subventions de la Mairie de Paris, notamment grâce à la vive intervention de Bruno Julliard-expert de donneur de leçon-, allait jusqu’à sous louer des appartements des immeubles qu’ils occupaient illégalement et avec violence.

Parmi les mascarades du groupe Jeudi Noir, nous soulignons en premier lieu l’appartenance de plusieurs militants aux groupes politiques Europe Ecologie et Front de Gauche, ce qui transforme en une campagne politique ce qui nous était jusqu’alors présenté comme l’action d’un collectif de citoyens.

Ces soi-disant précaires sont en réalité des fonctionnaires territoriaux, des assistants parlementaires, directeurs de cabinets, chargés de mission ou encore… journalistes, et sont donc tout sauf des mal-logés mais bien des professionnels de la manipulation médiatique.

Nous espérons que ces deux révélations coup sur coup mettront en garde les (vrais) journalistes avant de présenter de nouveaux collectifs et des coups montés de toutes pièces réalisés par des collectifs de dissimulateurs.

Nous tenons à rappeler à ceux qui s’intéressent sincèrement au problème du logement en France, et notamment à Paris, que toutes les dénonciations et tous les squats possibles ne feront pas avancé d’un cheveu la résolution de ces problèmes ; et que l’exercice de la citoyenneté appelle la responsabilité et l’honnêteté.

vendredi 25 février 2011

La dérive malsaine du Parti Socialiste...



Bonjour à tous,

Il y a de cela quelques jours, les Jeunes Socialistes ont cru bon de lancer une polémique avec une campagne d'affichage comparant le président de la République à Hitler (l'image en question ci-dessus). Une nouvelle fois, la provocation atteint son paroxysme et assurément le "Point Godwin" est atteint.

Le comité de la deuxième circonscription de l'UMP 77 condamne fermement cette action et invite le Parti Socialiste à faire des propositions pour l'avenir de la France plutôt que de se livrer à des injures continuelles !

Vous trouverez ci-dessous la réaction du Secrétaire Général de l'UMP à cette nouvelle attaque :

Trop c’est trop ! Les dirigeants du PS n’ont-ils rien d’autre à nous opposer et à proposer aux Français que des insultes nauséabondes et indignes ?

Une nouvelle étape dans la bassesse a été franchie avec l’affiche du Mouvement des Jeunes Socialistes (MJS) qui détourne honteusement une photo dans l’unique but d’assimiler Nicolas Sarkozy à Adolf Hitler, et ceux qui soutiennent le Président de la République aux nazis !

L’UMP dénonce cette dérive malsaine et dangereuse qui consiste à constamment faire l’amalgame entre nos propositions, nos élus, le Président de la République et le pétainisme ou le nazisme. C’est insultant pour le débat démocratique et républicain, pour notre pays et nos institutions et pour les familles des victimes de la barbarie nazie.

Jean-François Copé, au nom de l’UMP, appelle solennellement Martine Aubry à dénoncer et à stopper immédiatement cette campagne. Plus largement, il appelle le PS à quitter ce caniveau de l’insinuation scandaleuse sur le nazisme ou le pétainisme, pour revenir dans le débat républicain, dans l’échange d’idées, dans la confrontation de projet.

L’UMP appelle tous les Républicains, de droite comme de gauche, à faire part de leur indignation face à ces méthodes déshonorantes pour ceux qui les emploient.

samedi 19 février 2011

APPLICATION DES PEINES, LAÏCITÉ ET JUSTICE SOCIALE AU MENU DES PROCHAINS DÉBATS



Alors que l’opposition se complait dans les injures, nous lançons plusieurs débats autour des principales préoccupations des Français.

Premier rendez-vous acté par le Bureau politique, la réunion-débat du 8 mars qui abordera la question de l’application des peines. Notre objectif est d’étudier toutes les mesures possibles pour éviter au maximum que le drame de Pornic ne se reproduise ! Il s’agit d’ouvrir un débat de fond, sans tabou avec l’ensemble des acteurs. 

Autre rendez-vous fort qui se tiendra en avril, l’organisation de l’exercice des cultes religieux de telle sorte qu’ils soient compatibles avec les règles de notre République laïque. Il s’agit d’un débat difficile, qu’il faut assumer, et auquel nous souhaitons associer de nombreuses personnalités civiles et religieuses.

Le mois de mai, enfin, sera l’occasion de se pencher sur la question de la Justice sociale. Comment mesurer aujourd’hui l’efficacité de nos dépenses sociales ? Comment continuer d’être un pays aussi généreux ?

Autant de réflexions de fond sur lesquelles travaillent dès aujourd’hui nos cadres nationaux fraichement nommés. 

Ces débats sont ouverts à tous et nous donnent l’occasion de rappeler l’opposition à son devoir de proposition. Nous espérons dans cette dernière ligne droite revenir à un débat public où les idées prendront enfin le pas sur les attaques de personne. 

lundi 14 février 2011

Jean François Copé sur la TVA anti-délocalisation





Depuis l’an 2000, 12% de nos emplois industriels ont été détruits, soit plus de 500 000 postes supprimés ! Certains adoptent la politique de l’autruche et nient cette réalité. D’autres, nombreux dans la majorité, à commencer par le Président de la République, pensent qu’on ne peut rester les bras croisés face à la désindustrialisation de la France. Je suis de ceux qui pensent qu’il n’y a pas de fatalité face aux délocalisations. Notre devoir est de se battre pour que, demain, il y ait toujours des industries, des usines et des ouvriers dans notre pays. Cette conviction ne relève pas d’un attachement nostalgique au « folklore » des usines –cheminées etc.- mais du réalisme économique : moins d’industries, c’est moins de richesses et surtout moins d’emplois. Il n’y a que des micro-états comme Dubaï ou Singapour qui peuvent se permettre d’avoir une économie intégralement dématérialisée.

Il n’y a pas de fatalité aux délocalisations parce que nos voisins européens - aux fondamentaux économiques proches des nôtres - ne subissent pas la même désindustrialisation : l’industrie ne représente plus que 16% de la valeur ajoutée en France contre 23% en Italie ou 30% en Allemagne. C’est la preuve que les industries des pays développés peuvent parfaitement résister à la concurrence des pays émergents.

Il n’y a pas de fatalité aux délocalisations parce que nous connaissons parfaitement la cause majeure de la mort à petit feu de notre industrie : le coût trop élevé du travail. Dans l’industrie manufacturière, le coût d’une heure de travail s’élève à 37,41 euros en France contre 33,37 euros en Allemagne. L’équation est claire pour les investisseurs : pourquoi vouloir conserver une usine en France alors que produire en Allemagne coûte 4 euros moins cher par heure travaillée ?

Pourquoi ce coût du travail est-il plus élevé ? Pour deux raisons. D’une part, le boulet des 35 heures a été un choc de compétitivité pour nos usines (ce n’est pas une coïncidence si l’emploi industriel a commencé à décliner brusquement à partir des années 2000-2001, date d’entrée en vigueur des 35 heures). La réflexion sur les 35 heures, c’est un débat que l’UMP a déjà ouvert et qui doit aller à son terme. D’autre part, parce que le financement de notre protection sociale repose beaucoup trop sur le travail ! Les cotisations de sécurité sociale à la charge de l’employeur dans l’industrie manufacturière sont de plus de 9,5 € par heure en France contre moins de 7,5€ par heure en Allemagne… Mon idée est donc de transférer une partie des charges sociales vers la TVA ou la CSG. Cela a un triple avantage : faire baisser le coût du travail pour les employeurs ; avoir un impact positif sur la feuille de paye des salariés ; faire payer une partie de notre protection sociale par les produits qui viennent de l’étranger, qui sont assujettis à la TVA comme les produits français.


Je connais les critiques : il serait injuste de répercuter une partie du poids du financement de la sécurité sociale sur tous les consommateurs. Au contraire, la protection sociale profite à tous, pas uniquement aux travailleurs, il est donc logique d’élargir son financement. Augmenter la TVA serait dangereux pour le pouvoir d’achat et la consommation, premier moteur de la croissance dans notre pays. Il faut dédramatiser : il ne s’agit pas de relever la TVA de 4 ou 5 points ! Un point de TVA supplémentaire permettrait de baisser les charges de 8 milliards € et nereprésenterait qu’une hausse de moins de 1euro pour un caddie de 100€ !

L’enjeu de la désindustrialisation est trop important pour que nous nous interdisions d’évoquer toutes les pistes –comme la TVA anti-délocalisation - qui pourraient nous permettre de juguler ce phénomène. Il en va de l’avenir de milliers d’emploi industriels.