vendredi 25 février 2011

La dérive malsaine du Parti Socialiste...



Bonjour à tous,

Il y a de cela quelques jours, les Jeunes Socialistes ont cru bon de lancer une polémique avec une campagne d'affichage comparant le président de la République à Hitler (l'image en question ci-dessus). Une nouvelle fois, la provocation atteint son paroxysme et assurément le "Point Godwin" est atteint.

Le comité de la deuxième circonscription de l'UMP 77 condamne fermement cette action et invite le Parti Socialiste à faire des propositions pour l'avenir de la France plutôt que de se livrer à des injures continuelles !

Vous trouverez ci-dessous la réaction du Secrétaire Général de l'UMP à cette nouvelle attaque :

Trop c’est trop ! Les dirigeants du PS n’ont-ils rien d’autre à nous opposer et à proposer aux Français que des insultes nauséabondes et indignes ?

Une nouvelle étape dans la bassesse a été franchie avec l’affiche du Mouvement des Jeunes Socialistes (MJS) qui détourne honteusement une photo dans l’unique but d’assimiler Nicolas Sarkozy à Adolf Hitler, et ceux qui soutiennent le Président de la République aux nazis !

L’UMP dénonce cette dérive malsaine et dangereuse qui consiste à constamment faire l’amalgame entre nos propositions, nos élus, le Président de la République et le pétainisme ou le nazisme. C’est insultant pour le débat démocratique et républicain, pour notre pays et nos institutions et pour les familles des victimes de la barbarie nazie.

Jean-François Copé, au nom de l’UMP, appelle solennellement Martine Aubry à dénoncer et à stopper immédiatement cette campagne. Plus largement, il appelle le PS à quitter ce caniveau de l’insinuation scandaleuse sur le nazisme ou le pétainisme, pour revenir dans le débat républicain, dans l’échange d’idées, dans la confrontation de projet.

L’UMP appelle tous les Républicains, de droite comme de gauche, à faire part de leur indignation face à ces méthodes déshonorantes pour ceux qui les emploient.

samedi 19 février 2011

APPLICATION DES PEINES, LAÏCITÉ ET JUSTICE SOCIALE AU MENU DES PROCHAINS DÉBATS



Alors que l’opposition se complait dans les injures, nous lançons plusieurs débats autour des principales préoccupations des Français.

Premier rendez-vous acté par le Bureau politique, la réunion-débat du 8 mars qui abordera la question de l’application des peines. Notre objectif est d’étudier toutes les mesures possibles pour éviter au maximum que le drame de Pornic ne se reproduise ! Il s’agit d’ouvrir un débat de fond, sans tabou avec l’ensemble des acteurs. 

Autre rendez-vous fort qui se tiendra en avril, l’organisation de l’exercice des cultes religieux de telle sorte qu’ils soient compatibles avec les règles de notre République laïque. Il s’agit d’un débat difficile, qu’il faut assumer, et auquel nous souhaitons associer de nombreuses personnalités civiles et religieuses.

Le mois de mai, enfin, sera l’occasion de se pencher sur la question de la Justice sociale. Comment mesurer aujourd’hui l’efficacité de nos dépenses sociales ? Comment continuer d’être un pays aussi généreux ?

Autant de réflexions de fond sur lesquelles travaillent dès aujourd’hui nos cadres nationaux fraichement nommés. 

Ces débats sont ouverts à tous et nous donnent l’occasion de rappeler l’opposition à son devoir de proposition. Nous espérons dans cette dernière ligne droite revenir à un débat public où les idées prendront enfin le pas sur les attaques de personne. 

lundi 14 février 2011

Jean François Copé sur la TVA anti-délocalisation





Depuis l’an 2000, 12% de nos emplois industriels ont été détruits, soit plus de 500 000 postes supprimés ! Certains adoptent la politique de l’autruche et nient cette réalité. D’autres, nombreux dans la majorité, à commencer par le Président de la République, pensent qu’on ne peut rester les bras croisés face à la désindustrialisation de la France. Je suis de ceux qui pensent qu’il n’y a pas de fatalité face aux délocalisations. Notre devoir est de se battre pour que, demain, il y ait toujours des industries, des usines et des ouvriers dans notre pays. Cette conviction ne relève pas d’un attachement nostalgique au « folklore » des usines –cheminées etc.- mais du réalisme économique : moins d’industries, c’est moins de richesses et surtout moins d’emplois. Il n’y a que des micro-états comme Dubaï ou Singapour qui peuvent se permettre d’avoir une économie intégralement dématérialisée.

Il n’y a pas de fatalité aux délocalisations parce que nos voisins européens - aux fondamentaux économiques proches des nôtres - ne subissent pas la même désindustrialisation : l’industrie ne représente plus que 16% de la valeur ajoutée en France contre 23% en Italie ou 30% en Allemagne. C’est la preuve que les industries des pays développés peuvent parfaitement résister à la concurrence des pays émergents.

Il n’y a pas de fatalité aux délocalisations parce que nous connaissons parfaitement la cause majeure de la mort à petit feu de notre industrie : le coût trop élevé du travail. Dans l’industrie manufacturière, le coût d’une heure de travail s’élève à 37,41 euros en France contre 33,37 euros en Allemagne. L’équation est claire pour les investisseurs : pourquoi vouloir conserver une usine en France alors que produire en Allemagne coûte 4 euros moins cher par heure travaillée ?

Pourquoi ce coût du travail est-il plus élevé ? Pour deux raisons. D’une part, le boulet des 35 heures a été un choc de compétitivité pour nos usines (ce n’est pas une coïncidence si l’emploi industriel a commencé à décliner brusquement à partir des années 2000-2001, date d’entrée en vigueur des 35 heures). La réflexion sur les 35 heures, c’est un débat que l’UMP a déjà ouvert et qui doit aller à son terme. D’autre part, parce que le financement de notre protection sociale repose beaucoup trop sur le travail ! Les cotisations de sécurité sociale à la charge de l’employeur dans l’industrie manufacturière sont de plus de 9,5 € par heure en France contre moins de 7,5€ par heure en Allemagne… Mon idée est donc de transférer une partie des charges sociales vers la TVA ou la CSG. Cela a un triple avantage : faire baisser le coût du travail pour les employeurs ; avoir un impact positif sur la feuille de paye des salariés ; faire payer une partie de notre protection sociale par les produits qui viennent de l’étranger, qui sont assujettis à la TVA comme les produits français.


Je connais les critiques : il serait injuste de répercuter une partie du poids du financement de la sécurité sociale sur tous les consommateurs. Au contraire, la protection sociale profite à tous, pas uniquement aux travailleurs, il est donc logique d’élargir son financement. Augmenter la TVA serait dangereux pour le pouvoir d’achat et la consommation, premier moteur de la croissance dans notre pays. Il faut dédramatiser : il ne s’agit pas de relever la TVA de 4 ou 5 points ! Un point de TVA supplémentaire permettrait de baisser les charges de 8 milliards € et nereprésenterait qu’une hausse de moins de 1euro pour un caddie de 100€ !

L’enjeu de la désindustrialisation est trop important pour que nous nous interdisions d’évoquer toutes les pistes –comme la TVA anti-délocalisation - qui pourraient nous permettre de juguler ce phénomène. Il en va de l’avenir de milliers d’emploi industriels. 

dimanche 6 février 2011

Galette de rentrée de la deuxième circonscription



Bonjour à tous,

Samedi 5 février avait lieu la galette de rentrée de l'UMP de notre circonscription. Près de 75 personnes avaient fait le déplacement à cette occasion à Château-Landon pour se retrouver.

En présence du député Didier Julia, du sénateur Jean-Jacques Hyest, du conseiller régional et maire de Fontainebleau Frédéric Valletoux, des conseillers généraux Jean-François Robinet, Christian Frot et Bernard Rodier, de nombreux maires de la circonscription, de Cédric Thoma délégué UMP de la circonscription, les adhérents de la deuxième ont pu partager un moment convivial centré sur l'actualité politique des semaines et des mois à venir : les élections cantonales du canton de Nemours en mars prochain, les élections sénatoriales en septembre prochain mais aussi la préparation de l'élection présidentielle de 2012.

Réunions thématiques sur les sujets qui seront au coeur du programme de l'UMP en 2012, mobilisation de nouveaux réseaux et développement du nombre de militants et d'adhérents seront les axes sur lesquels s'appuiera notre circonscription. Dans les mois à venir, l'UMP ira au plus près de ses adhérents, partout dans la circonscription !

Nous comptons sur vous pour réussir la levée en masse de notre mouvement pour être tous derrière Nicolas Sarkozy !